Une version break pour l'Alfa Romeo Giulia ?

L'Alfa Romeo Giulia semble bien partie pour être une réussite commerciale. Déjà favorablement accueillie au Mondial de Paris, notamment avec la version Veloce, depuis le début de l'année, Alfa Romeo a vendu 5105 Giulia, la plaçant en cinquième position dans son segment face à la Mercedes Classe C, la BMW Serie 3, l'Audi A4 et la Jaguar XE.

Mieux, la voiture italienne a décroché la quatrième place, en septembre, avec 1718 voitures vendues. Selon Sergio Marchionne, président du groupe FCA, la Giulia représente : "L'un des meilleurs lancements technique que ce groupe n'a jamais réalisé."

Enthousiaste, à terme, il envisage que les ventes de la Giulia atteignent 75'000 à 100'000 exemplaires vendus par an, autour du monde. La voiture devrait en effet être vendue aux États-Unis d'ici la fin de l'année, et en Chine dans le courant de l'année prochaine.

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Fort de ce succès, la gamme Giulia devrait s'étoffer d'une version break. Un plus pour le marché européen, qui est assez friand de versions break pour les voitures de taille moyenne. D'autant plus que ses concurrentes directes possèdent tous une version break, à l'exception de la Jaguar.

Pour le moment, Alfa Romeo n'a pas souhaité commenter la mise en production d'une version break de sa berline, mais les rumeurs tendent à annoncer une mise en production d'ici fin 2017.

Ce n'est pas la première tentative d'Alfa Romeo sur le marché du break. Les devancières de la berline milanaise, la 156 et la 159 avaient toutes les deux une version break, nommée Sportwagon. Évidemment, ces versions privilégiaient avant tout le style, plutôt que la praticité, mais avaient remporté l'adhésion du public.

En attendant, la firme milanaise doit aussi se concentrer sur le lancement de son SUV Stelvio, basé sur la plate-forme Gorgio de la Giulia, qui devrait faire ses débuts au salon de Los Angeles, au mois de novembre.

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