En 1978, la Toyota Celica Supra voit le jour. Depuis, la sportive a été renouvelée à maintes reprises et en 2018 (voire en 2019), le constructeur japonais présentera la toute nouvelle génération. Cette nouveauté doit faire honneur à ses ancêtres, et c'est ce que nous tâcherons de vérifier lors de notre essai.
Après un renouvellement en 1981, Toyota décide en 1986 de supprimer le terme "Celica". Dès cette année-là, la Toyota Supra devient une voiture à part entière ; la success-story peut commencer. Rapidement, la Toyota Supra reçoit un turbo qu'elle conservera tout au long de sa carrière. Cette troisième génération, baptisée Toyota Supra MK3 a eu le droit à plusieurs restylages et à plusieurs versions qui varient en fonction des pays.
Mais celle qui a largement contribué au rayonnement mondial de la Toyota Supra, c'est la MK4 qui fut commercialisée en 1994. Cette voiture a joué dans de nombreux films, et les préparateurs ont poussé la puissance du moteur à près de 1000 ch. Il faut dire que la Toyota Supra MK4 ne développait que 280 ch au Japon et un peu plus de 300 ch pour les versions européennes qui étaient équipées de deux turbos. Mais le moteur 2JZ pouvait en réalité aller beaucoup plus loin, et ça, les préparateurs l'ont très vite compris !
Aujourd'hui, on attend le retour de la Toyota Supra qui n'a donc pas été renouvelée depuis 1994. La nouvelle génération a été développée conjointement avec le BMW Z4. La Toyota Supra MK5 sera plus puissante et plus courte que sa prédécesseur.