En Europe, Renault est leader sur le marché des véhicules utilitaires depuis près de 20 ans. Une position que le constructeur français entend bien conserver, notamment en diversifiant sa gamme de produits.

Parmi ceux-ci, le nouveau pick-up Alaskan est appelé à jouer un rôle prépondérant. Une première pour Renault qui n’a pas été trop compliquée de concrétiser grâce au cousin Nissan. En effet, l’Alaskan n’est rien d’autre qu’un Nissan Navara NP300 rebadgé. Le modèle est plutôt du genre imposant avec des mensurations généreuses : 5,32 mètres de longueur, 1,83 mètre de hauteur et 1,85 mètre de largeur. Et si la calandre (partiellement masquée ici) fait clairement montre de sa génétique française, le reste du modèle n’a fait l’objet d’aucune modification majeure par rapport au Navara.

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L’Alaskan est assemblé aux côtés de son cousin japonais, dans une usine non loin de Barcelone. Il partage du coup ses motorisations (4 cylindres dCi de 160 ch ou 190 ch), tout comme sa plateforme et sa capacité de charge utile d’une tonne.

Il en va de même pour la transmission intégrale à vitesses longues et courtes. En conditions normales, le modèle se contente de faire fonctionner les seules roues arrière pour diminuer l’appétit de la mécanique. Enfin, avec son différentiel à glissement limité électronique et son différentiel arrière autobloquant, l’Alaskan est clairement paré pour l’aventure. Ce pick-up sera commercialisé d’ici une poignée de semaines sur le continent européen mais également en Amérique latine où il devrait remporter un succès certain.

Galerie: Le Renault Alaskan en balade à Bruxelles

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