Habituellement, c'est en marge du Salon de Genève qu'est connue la gagnante du prestigieux trophée de la "Voiture de l'Année". Mais cette année, pour les raisons que nous connaissons tous, il n'y aura pas de Salon de Genève. De ce fait, comme l'année dernière, c'est lors d'une cérémonie en ligne que les 59 journalistes membre du jury de la "Voiture de l'Année", ont livré leur verdict. Un verdict qui a couronné la nouvelle Toyota Yaris.
La citadine hybride japonaise fabriquée au sein de l'usine de Valenciennes, dans le nord de la France, succède donc à la Peugeot 208 auréolée de ce même titre en 2020. Ce n'est d'ailleurs pas une première pour la Toyota Yaris, puisqu'elle avait déjà été titrée en 2000. Il y avait à la base 29 candidates, puis sept finalistes se sont détachés, à savoir la nouvelle Fiat 500 , la Volkswagen ID.3, le Cupra Formentor, le Land Rover Defender, la Citroën C4 et la Škoda Octavia.
Rappelons que ces voitures ont été évaluées en fonction de différents critères, à savoir le design, le confort, la sécurité, l'économie, la maniabilité, la performance, la fonctionnalité, les exigences environnementales, la satisfaction du conducteur et le prix. Pour qu'une voiture soit éligible, elle doit être totalement nouvelle. Ainsi, les véhicules restylés sont automatiquement écartés. De plus, elles doivent être commercialisées dans au moins cinq pays européens.
Malgré la présence d'une voiture française parmi les finalistes, le jury, composé de six journalistes français, n'a pas voté massivement pour la Citroën C4, bien au contraire. Ils ont préféré la Toyota Yaris, avec 33 points, la nouvelle Fiat 500 avec 24 points et le Cupra Formentor avec le même nombre de points que la petite italienne.