Normalement, lorsque nous recherchons un concept oublié à vous présenter, nous avons tendance à remonter assez loin dans le temps. Toutefois, l'histoire de cette MINI est un peu différente, car elle est relativement récente.
Sa première apparition remonte à 2014, lorsque cette MINI a épaté le public Concorso d'Eleganza Villa d'Este. Nous ne pouvons imaginer de meilleurs endroits pour exposer ce projet réalisé par Carrozzeria Touring Superleggera, une référence dans le monde du design depuis 1926, basée à Milan, en Italie.
Une carrosserie en aluminium
Construite entièrement à la main, le spécialiste a créé la carrosserie de la deux portes entièrement en aluminium, donnant à l'ensemble un look spectaculaire, mais sans renoncer aux éléments caractéristiques des MINI modernes, comme les phares ronds ou la calandre, par exemple.


Bien entendu, les éléments en plastique renforcé de fibres de carbone (CFRP) n'ont pas manqué, comme le diffuseur arrière et la lame avant, ainsi que l'"Union Jack" dans le design des feux arrière.
L'intérieur est également remarquable. Le tableau de bord est fabriqué à partir d'une seule pièce d'aluminium, avec seulement un écran tactile et quelques cadrans. Le conducteur disposait d'un simple volant à trois branches d'allure classique, au-dessus duquel se trouvait une instrumentation numérique.

Motorisation électrique
Lors de sa révélation, MINI a annoncé que son concept était entièrement électrique, sans pour autant divulguer la puissance et les performances de son moteur ainsi que l'autonomie de sa batterie.
Malheureusement, la MINI Touring Superleggera n'est rien de plus qu'un exercice de style, contrairement à ce que beaucoup d'entre nous auraient souhaité. Car s'il y a une marque qui aurait pu prendre un risque en créant un modèle de production similaire, c'est bien MINI. Car si elle l'a déjà fait avec le Coupé, le Roadster ou le Paceman ? Pourquoi pas avec un Speedster ?