Cela n'y paraît pas, mais d'ici trois mois, cela fera deux ans que la DS 9 aura été présentée. Suite à la pandémie et d'autres soucis, souvent indépendant de la volonté de la marque, la DS 9 n'a fait ses débuts que cette année, et avec une gamme encore assez restreinte. Mais DS semble enfin voir le bout du tunnel avec sa DS 9, en lançant la troisième version hybride rechargeable, qui gagne, par la même occasion, une nouvelle batterie.

Annoncée à la présentation de la voiture en 2020, la version hybride rechargeable de 250 chevaux est désormais disponible à la commande. Elle se dote du fameux quatre cylindres PureTech 1,6 litre essence de 200 chevaux et d'un moteur électrique de 110 chevaux. La puissance est transmise uniquement aux roues avant via une boîte automatique EAT à huit rapports. La voiture peut atteindre 240 km/h en vitesse de pointe et 135 km/h en tout électrique.

Essai DS 9 (2021)

Comme énoncé plus haut, la bonne nouvelle, c'est l'arrivée d'une batterie de plus grosse capacité par rapport aux E-Tense 225 et E-Tense 360. La capacité de la batterie passe de 11,9 à 15,6 kWhle tout avec le même nombre de cellules, permettant ainsi de ne pas rajouter de poids au véhicule. Le chargeur embarqué de 7,4 kW autorise une charge de 0 à 100 % en 2h23.

Ainsi, selon le cycle mixte WLTP, l'autonomie est annoncée à 61 kilomètres, soit environ 13 kilomètres de plus que la version E-Tense 225. En ville, l'autonomie pourrait même grimper jusqu'à 70 kilomètres contre 58 pour sa petite sœur.

Concernant les tarifs, il faudra débourser, au minimum, 58 000 euros pour la DS 9 E-Tense 250 avec la finition "Performance Line+" et 60 900 euros pour le haut de gamme "Rivoli+". Cette version vient ainsi s'intercaler entre la "petite" de 225 chevaux disponible à partir de 54 000 euros et la puissante version de 360 chevaux et quatre roues motrices qui démarre à 65 500 euros.